Combattre la misère commence en bas de chez nous.

« Suite à une hospitalisation, j’ai arrêté ma consommation d’alcool. J'ai pu tenir grâce au soutien de l'équipe éducative et de mes référents qui sont passés me voir régulièrement. À mon retour au CHRS, j'ai maintenu mon abstinence et j'ai travaillé un projet de retour à l'emploi avec mes référents. J'ai été embauchée en septembre 2022, sur un poste en CDDI d'aide à domicile. Aujourd'hui, je suis épanouie et je continue d'avancer dans mes projets. »

« L’abej SOLIDARITÉ m’a tout donné : un toit, la sécurité, être au chaud, avoir à manger, un soutien pour les démarches santé et les démarches pour être relogé dans un vrai logement. »

« J'ai été exclu de chez moi à cause d'un conflit familial. Je me suis retrouvé pris dans un tourbillon d'attente, de papiers manquants et de portes qui se ferment. L'accueil de jour, c'est devenu pour moi un endroit de dernier recours, mais aussi un lieu de solidarité incroyable. Les intervenants sont le véritable visage de l'empathie et de la lutte contre l'indifférence. »

« C’est un espoir, un rêve qui se réalise depuis que je vis en habitat partagé ! Nous avons un esprit de communauté, nous avons la responsabilité de faire fonctionner le lieu, ça se passe bien. On partage, on mange ensemble, on s’entraide. Je vois l’avenir meilleur. »

« Merci pour vos dons : ils permettent d’aller au-delà des accompagnements que les subventions prévoient. Ils nous permettent de répondre à des besoins et de faire fonctionner des services pour les personnes que nous accompagnons que l’état ne finance pas. D’améliorer parfois simplement le quotidien des personnes avec des petits plus comme par exemple des séjours de ruptures ou des repas améliorés ou équilibrés. »

En 2016, j’avais tout pour être heureux. Et puis, un moment, il y a la séparation, je me retrouve seul et perds pied, je suis entré dans un état dépressif. Après 5 à 6 mois à la rue, l’abej SOLIDARITÉ m’a permis d’obtenir un suivi de soins, de parler avec un éducateur, de faire partie d’un dispositif d’hébergement et de réinsertion… Maintenant, ça fait trois semaines que j’ai signé mon CDDI (contrat à durée déterminée d’insertion) et que j’ai mon appartement. »

« Mon entrée dans la pension de famille m’a sauvé la vie. Il y a un très grand soutien de la part de l’équipe au niveau de mes problèmes d’addiction. Mon souhait serait de rester ici car ça m’aide à aller de l’avant. J’ai déjà connu la rue et je ne veux plus revivre ça. Avec la pension de famille, on fait aussi des séjours, ils sont très reposants, amicaux, on passe de très bons moments, je peux y faire mon sport. »